Les camarades enthousiastes de la CGT, de la FSU et de Solidaires se sont retrouvé·es en visio ce 18 mars pour des tables rondes militantes. La première sur l’incarcération des jeunes femmes met en lumière le grossissement opéré par la prison sur les stéréotypes de genre auxquels sont assignées les jeunes femmes, dans un monde qui est pensé pour les hommes, où les personnels non formé·es sur les questions féministes doivent faire avec les moyens du bord pour surveiller ou éduquer. Des premières de corvées, infirmières, AESH et hôtesse de caisse se succèdent ensuite pour dénoncer les conditions de travail en temps de pandémie, les discriminations à l’embauche, les salaires indigents, et la violence des politiques libérales sur les salariées. De la sororité et de l’énergie pour continuer les luttes des syndicalistes féministes !